Marche rapidement

Antoine qui était la , pour placer la liste des soldats morts , aussi triste que les femmes , parce qu'il n'avait perdu que des simples compagnons d'armes , mais des amis. Il remarqua une femme qui était la , soucieuse , il alla le voir , esperant que quelqu'un de sa famille ou son mari n'était pas décédé.

-Bonjour Mademoiselle.Vous êtes ?

L'homme éspérait que la reponse de la femme n'allait pas etre quelqu'un qui était deja décédé.

Shalom tourna le dos à la malheureuse liste pour voir que l'homme qui avait placé la liste lui parlait, elle se sortit de ses songes et afficha son triste sourire ...

-Bonjour, je m'appelle Shalom ... et vous même ?

Antoine la regarda et remarqua que son sourire était forcé , et que dans le fond d'elle ,elle était triste , malheureusement la guerre faisait des victimes mais aussi des personnes tristes.Ceci était vraiment embetant pour Antoine qui était un des rares survivants a être revenu du front.

-Bonjour , je m'appelle Antoine , Antoine Ponchel. C'est vraiment dommage tous ces gens qui meurent juste pour une personne.

Biensur , lui , n'était pas mort , ce qui choquerait peut etre Shalom.Car une personne de sa famille n'était peut etre pas vivante.

Shalom ne devait pas à cette unique personne dont parlait Antoine, seulement la mort de deux frères et d'un père mais aussi la destruction de sa propre vie ... Elle ne s'empécha pas d'afficher un mauvais sourire ...

-En effet, c'est bien dommage ...

Elle baissa les yeux ...

Antoine la regarda , elle était détruite , plus rien ne devait aller pour elle , il n'aimait pas voir ce spectacle , c'était tres dur.Personne n'aurait aimé être a la place de cette jeune femme , étant tres triste...

-Les temps sont durs , moi aussi j'ai perdu de la famille.Et vous pouvez me croire , je me demande encore pourquoi je suis vivant.J'aimerais être a la place d'un des morts , au moins ils sont tranquille. Tandis que moi je dois encore aller au front demain.

Antoine lui sourit esperant qu'il lui avait remonter le moral.

Shalom lui rendit son sourire et le regarda bien dans les yeux pour bien se faire comprendre ...

-Je souhaiterais presque la même chose que vous ... Tomber de si haut ... Ce n'est pas facile ...

Elle regarda le ciel d'un air pensif ... Sachant bien qu'elle parlait de façon égoïste ...

-Evidement c'est dur pour tout le monde ... Pour vous et vos compatriotes en premier je pense ... Et pour toutes ces veuves ... Et ces orphelins ...

Antoine essaya de n'afficher aucune grimace qu'il pourrait avoir , en pensant a ces amis.Et remarqua que ses yeux n'était aucunement réconforté.

-Oui , la guerre n'est pas une chose joyeuse , malheureusement pour nous...Sinon , pourquoi étiez vous la ?

Antoine lui afficha un drole de sourire , étant forcé mais pas tres tristre.

Shalom remarqua son étrange sourire et fit une grimace, elle jeta un coup d'oeil à la liste puis se retourna face à son interlocuteur ...

-Je devais faire quelques que courses mais on ne trouve plus rien ... Et puis ma mère m'a envoyé à l'annonce ...

Elle désigna la liste d'un mouvement de la tête ...

-Pas de mauvaises nouvelles cette fois-ci ...

Shalom sourit ...

Antoine ésperait que ce qu'elle allait voir n'allait pas être négatif car il ne supportait plus voit le malheur des gens. Juste a côté de la jeune femme une autre personne était a genou , les mains tenant sa tête , criant.

-C'est vraiment un spectacle tres dur.Tenez , a moi ca ne me servira nullement.

Antoine disait ca en regardant la femme , puis sortit de sa poche une ringlette de tickets étant encore neuve.

-On en trouve beaucoup sur le front , biensur , je n'ai pas le droit , mais si vous manquez de quelque chose.

Il lui dit ca tout en tendant les tickets.

Shalom haussa un sourcil sans sourire, tout en regardant Antoine lui offrir des tickets de rationnement ... Elle n'aimait pas vraiment recevoir de l'aide d'un étranger et hésita le temps d'une seconde ...

-Je ne sais pas si je dois ...

Elle jeta un coup d'oeil à la femme qui hurlait de douleur, et soupira ...

-Je crois bien que cette femme a plus besoin d'aide que moi, mon cher monsieur ...

Antoine la regarda hesitez puis regarda la femme , il hésita , mais vu que la femme était seul et trop vielle pour avoir une autre personne qu'elle a nourir. Puis l'homme regarda la femme , vut qu'elle était encore assez jeune pour avoir sa mére sur les bras a nourrir.

-Madame , j'insiste pour que vous les preniez , je n'en n'ai nul besoin et je ne veux pas que vous aussi , soyez un squellette comme certaines.

Dans sa tête , Antoine pensa que ce serait la derniere fois qu'il allait être sympathique avec cette femme qui ne l'était pas , ceci est tout a fait normal car a cette epoque tout est dur. Par contre , peu de gens aurait refusé une premiere fois , alors il glissa dans sa poche le ticket , car cette femme le méritait.

Shalom se rendit compte qu'elle avait blessé l'homme qui essayait de se montrer gentil, elle resta silencieuse un moment en baissant les yeux, ... elle arrangea une mèche de cheveux et sa voix s'adoucit ...

-C'est trés gentil de votre part ... Donc vous repartez dés demain sur le front ?

Shalom lui fit un sourire sincère ...

Antoine sourit , que cette jeune femme accepte enfin ses tickets.Il ésperait maintenant que cette n'allait pas poser des questions un peu trop difficile pour lui. Il tendu sa main vers le vide , pour lui montrer , qu'il ne fallait pas rester ici plus longtemps car il n'avait pas beaucoup le droit de faire ca.

-Venez , ne restons pas ici.

-Oui , je n'aime pas trop y aller , c'est tres dur mentalement et physiquement.Et vous , est ce qu'une resistance se fait ou non.

Antoine commenca a marcher.Puis au moment ou il sortit cette phrase , il regarda a droite et a gauche , puis regarda dans les yeux Shalom.

Shalom suivit Antoine sans un mot, et en le voyant s'inquiéter elle comprit qu'il n'était pas recommander de discuter de ça ... Quand il relata brièvement la dureté de la vie sur le front, elle sourit tristement avec compassion ... A sa question, elle leva les yeux au ciel en signe d'impuissance et haussa les épaules ...

-Que voulez-vous ? Pour l'instant je m'occupe de ma mère qui est trés malade et maigre comme un clou ... Je ne compte pas me risquer dans des manifestations, même si la cause est bonne ... J'aurais bien assez tôt de nouveaux ennuis à cause de ma religion ...

Antoine prit le bras , de Shalom , alla pret d'une maison , ouvrit la porte d'un coup de pied , y entra , vut des personnes dans le salon.

-Tout le monde dans la cave !

Il ouvrit la trappe , y emmena toute la famille , puis Shalom , puis lui , et s'enfermerent dans la cave.

-On y a échapé cette fois ...

Antoine entendit des coups de feux a l'exterieur ouvrit la trappe , prit un des fusils qui était encore a son épaule , et se dirigea a l'étage , il vut qu'une troupe de nazis était encore débarqué , il ajusta son tir , et tua un des hommes d'une balle a l'épaule. Puis remarqua qu'un autre homme tirée.C'était un américain , vut son logo ; il devait être de la BIG RED ONE.Il lui cria :

Com'on , viens , d'en haut on a un meilleur angle de tir.

Shalom était complétement sonnée ... Elle se laissa entraîner dans la cave avec tous ces gens, bouche bée, les yeux grands ouverts par l'effroi ... elle murmura pour elle-même ...

-Oh mon dieu ...

Puis elle se retourna vers les habitants de la maison ...

-L'américain est resté dehors ? ... Le français aussi d'ailleurs ...

Antoine le regarda , puis pensa a quelque chose qu'il avait oublié , il mit son fusil a côté de la fenetre puis dit a johny:

-Continuez a tirer , je reviens...

Il desendit jusqu'a la cave , et compta les personnes , tout le monde était encore la. Il leur parla.

-Tous ceux qui peuvent tirer , viennent avec moi.

Il espera que deux trois personnes allait venir.Dont Shalom.

Shalom qui était debout les bras croisés, les yeux baissés, leva la tête précipitement et répondit la première ...

-Je viens ...

Shalom était une excellente tireuse et elle le devait à son défunt père ...

Antoine la regarda sortir du pénombre ; lui tendit une arme. Puis un enfant sortit , il n'avait meme pas 16 ans , mais était deja tres mur , Antoine lui tendit aussi une arme , et remonta a l'étage , il remarqua que l'américain en avait deja tué beaucoup et qu'il ne réstait que 5-6 nazis, caché derriere des lampadaires.Il arma son fusils , et commenca a tirer.

-Ils nous auront pas.